CR n° 84 du 24 août par Jacques

 

                      Sortie N°84

 

                     24 Août 2014

 

           Bords de Loire et Pays des Mauges

 

 

 

 

C’était où ? Dans le 44 et le 49

 

On était combien ? 3 électrons

 

Y’avait combien de motos ? 3 motos

 

Il faisait beau ? Oui pour Meteo France, plus mitigé pour nous

 

Participant(e)s :

 

Serge

BMW 1150 RT

Guilhem

Guzzi Bellagio

Jacques

Yamaha 600 XJN

   

 

Rendez-vous à 9h00 par un temps mitigé mais plutôt agréable, ce qui n’allait pas durer, de fin de mois d’août. Nous ne sommes que trois, c’est encore une période de vacances, donc rien d’étonnant à cela. Jacques prend la tête de notre petit convoi, direction la levée de la Divatte afin de remonter la Loire jusqu’à l’île de Béhuard.

 

La route se passe à un rythme calme car ce n’est pas une voie sur laquelle on roule vite.  On profite des beaux paysages et des quelques virages en arrivant sur Champtoceaux. Nous continuons ensuite à longer la Loire au plus près. Nous la traversons enfin pour faire une pause à Ingrandes. A notre arrivée, l’église sonne pour appeler ses fidèles mais nous décidons de nous poser à la terrasse du café dit « La Route du Sel ».  Les boissons chaudes ne sont pas là pour nous réchauffer mais pour nous réveiller : on est quand même dimanche et on est parti bien tôt (et la nuit a été courte pour certains). Nous repartons ensuite par le même pont afin de retourner au sud de la Loire et de continuer notre chemin.

Le pont d'Ingrandes

Le pont d'Ingrandes

Jacques nous fait passer par l’île Jousselin et ses toutes petites routes : mieux valait ne pas être 20 motos à mon avis. Encore quelques virages, rivages (non je n’ai pas écrit deux fois le même mot) et ponts et nous arrivons à destination sur l’île Béhuard.

 

Fait marquant lors de ce trajet (il n'y a pas de photo, il faut nous croire) : nous avons croisé une chèvre déambulant sur la route et qui a hésité à traverser entre nos motos. Fort heureusement, certainement intimidée par le métal hurlant de nos machines, elle décida de rester de son côté de la route. Quelques centaines de mètres plus loin ce sont deux motards de la gendarmerie qui roulent bien vite : même pas eu le temps de leur faire signe qu’ils vont bientôt dépasser une chèvre. J’espère que leur rencontre s’est bien terminée.

 

Béhuard
Béhuard
Béhuard
Béhuard
Béhuard
Béhuard

Béhuard

Après cette rapide visite, ce n’est pas bien étendu comme site, nous pique-niquons sur les tables à disposition. Nous profitons de cette pause pour jeter un coup d’œil sur la carte routière et déterminer le trajet du retour, qui se fera en rentrant un peu dans les terres en passant par le Layon et le pays des Mauges.

 

Le pique-nique

Le pique-nique

Des motos quand même

Des motos quand même

Cela offre l’avantage d’un parcours assez vallonné ponctués de beaux virages, avec très peu de véhicules sur les routes. Le beau temps annoncé pour la journée entière par Météo France se gâte définitivement avec quelques gouttes de pluie par intermittence. Pas de quoi sortir nos combinaisons, heureusement.

 

La corniche Angevine

La corniche Angevine

Nous nous retrouvons de nouveau à Champtoceaux où nous nous arrêtons pour prendre un café / chocolat selon les goûts. Je suis désigné pour prendre la tête du convoi en direction du Loroux-Bottereau, histoire de ne pas revenir par le même chemin qu’à l’aller. Ce fut un échec complet : je n’ai jamais trouvé la bonne route, ne trouvant pas de panneau indiquant le Loroux-Bottereau. Il fallait certainement suivre ceux de la Chapelle-bassse-mer, mais je n’y ai pas prêté attention sur le moment. On a quand même fini par retrouver notre route même si en visant Vertou j’ai fini par emmener la petite troupe sur la 4 voies puis sur le périphérique. Depuis, je relis la carte de la région tous les soirs pour ne plus me perdre la prochaine fois.

 

Bilan de la journée : une belle boucle le long de la Loire et dans le pays des Mauges, d’environ 230 km, des routes très peu fréquentées avec de beaux paysages et quelques virages intéressants pour la pratique de la moto. Et une découverte touristique, car je ne connaissais pas du tout Béhuard ni l’île Jousselin.

 

Guilhem, secrétaire d’un jour.

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