CR n°42 les 13-14-15-16 mai 2010 L'Ascension à FOURAS
FOURAS 13-14-15-16 mai 2010
C’était où ? : A FOURAS et ses environs
On était combien ? : 16
Y’avait combien de motos ? : 10
Il faisait beau ? Pas mal pour la saison, un poil frais, mais pas une goutte d'eau pendant le séjour
Participant(e)s :
Gilles Mireille
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Suz 1400GSX |
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Biloute
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Triumph 900 Bonneville América |
Boopy |
HD |
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Thierry
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HD
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Dom Nath |
BMW 1150 RT |
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Jean Monique |
BMW1200 C |
Daniel Jocelyne
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YAM XVS 1300A MidnightStar |
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Michèle |
Ducati 620 |
Gilbert Marie |
Yam 1300FJR |
Christian Chantal |
Suzuki 1000VStrom |
Jeudi 13 mai 2010:
Voilà, le grand jour arrive enfin, les Electrons vont faire LEUR Ascension en « descendant ! » sur la région de La rochelle !
Tout le monde a mis son réveil et toute la troupe est là pour 8h00,
l’heure qu’a choisit Gilles pour nous emmener passer 4 jours dans la Charente Maritime. Parce que, c’est Gilles et Mireille qui vont tout gérer pour nous. On ne s’occupera pas des itinéraires, des visites, des restaus, enfin de rien… et ça, ça n’a pas de prix… Même qu’on ne sortira presque pas notre porte monnaie, Mireille s’en chargera tout le weekend. Si, c’est pas bien… !!
On organise le convoi comme suit : en tête, Gilles, derrière lui en poisson suiveur Jean, et en dernier Christian. Pour les autres c’est comme vous voulez mais après Jean !!
Avec Gilles en organisateur d’itinéraire (et en plus en tant que professionnel de la route), il faut s’attendre à prendre des petites routes et de traverser des patelins bien sympas. C’est exactement ce qu’on va faire pendant tout le séjour.
Donc, c’est parti et on traverse, dans l’ordre :
Les Sorinières ; Le Bignon ; La Planche ; Vieillevigne ; Les Brouzils ; Chauché (pratique à prononcer !!) ; Les Essarts. On doit s’arrêter pour réchauffer les mains à Boopy et les pieds à Thiery (sont un peu fragiles les possesseurs de machines construites à Milwaukee !!, doit faire plus chaud aux States !!) Allez en route… Bournezeau ; Thorigny ; Mareuil Sur Lay ; et halte café. Ayant fait dernièrement, une reconnaissance dominicale avec Mireille, Gilles a prévu une halte sur le bord de la Lay à Lavaud où nous attend le proprio. 10 motos arrivant vers 11h00, ça réveille un peu les habitants du coin et principalement les pécheurs venus se reposer tranquillement en suivant des yeux leurs bouchons immobiles.
Il fait un peu plus chaud, ça fait du bien et on se met sous les parasols pour déguster un petit rafraichissement bien mérité (comme d’hab. !!) On assiste à la mise à l’eau d’un petit bateau pour une partie de pêche. Le papy emmène son petit fils (enfin, c’est ce qu’on en a déduit !) sur le rafiot animé par un moteur électrique (tiens, au fait, ça existe pas une Harley avec un moteur électrique, faut que j’en cause aux 2 Tijou..)
On repart vers Luçon ; puis on traverse Le Parc Régional du Marais Poitevin par Triaize ; Puyravault ; Charron (où il reste encore les traces du passage de Xynthia avec des maisons bien amochées) Gilles a prévu un petit arrêt dégustation d’huitres à Lauziére. C’est beau comme coin, y’a des huitres partout dans les vasières et nous allons chez un cafetier qui propose la ½ douzaines d’huitres pour la modique somme de 7,5 euros !! A ce prix là, y vont pas par le dos de la cuiller, alors on fait tous marche arrière et adieu la dégustation. Un peu de respect Messieurs et on fera marcher le commerce…
Nous repartons et arrivons rapidement sur La Rochelle.
Pour stationner et casser la croute, c’est pas top, on n’est pas seuls ici, alors on continu encore un peu et on trouve enfin un petit parking que Gilles aborde en sens interdit, mais c’est pour la bonne cause, on lui en tient pas rigueur (en +, c’est lui qu’a l’apéro !!) Les pique nique sont sorties, les bouteilles aussi, et même les petits gâteaux pour un apéro encore et toujours bien mérité..
Il fait un peu plus frisquet que ce matin, et pour se réchauffer on a mis le chauffage qu’on a sous la main. Rien de tel qu’un petit feu de bois en pleine ville, pas besoin de faire Kolanta ! Jean en souvenir d’un certain tipi du Lot nous gratifie d’une danse autour du feu dont lui seul a le secret…. !!
Bon faut repartir vers notre destination. Entretemps, on s’arrête prendre un p’tit café à La Rochelle devant le grand commissariat. Thierry en profite pour faire une petite sieste…
On continu en longeant l’océan par Angoulins ; Chatelaillon plages; et voila à l’horizon Fouras terme de notre première journée et camp de base de notre séjour sur le terrain de camping « Le Cadoret » en bordure de mer.
Là, on s’aperçoit qu’il y a deux types d’Electrons : ceux qui perpétuent les ancêtres traditions du campeur à la belle étoile sous des tentes frappées du sigle Décathlon,
et ceux qui se préfèrent en O’ HARA, ou autres IRM. Ils pensent nous snober, et ben non, on ira prendre l’apéro tous les soirs chez eux, rien que pour les embêter (Nb : je rappelle les « vrais » bivouaqueurs : les 2 HD (et en + dans la même tente !!), la Triumph de Biloute et la VStrom du p’tit poussin et de sa mère poule !)
Bon, 1ere anecdote ; Thierry a bien pris la toile de sa tente, mais a oublié les armatures et les piquets… Y’a de la place dans les bungalows ? En fait ils sont sympas aussi ….
Après quelques errements, v’la les armatures qui tombent de la toile, et aussi les piquets….Un ange passe !! C’est ça quand c’est trop bien rangé…..
Une fois bien installé et la douche prise, on a rdv chez Jean et Dom (et leurs épouses, bien sur) pour l’apéro géant (celui la il n’est pas interdit, on l’a pas mis sur Facebook !!).
Gilles nous a trouvé un restau pour les diners à quelques minutes à pied. Bien pour la digestion.
Accueil très chaleureux de la proprio, et repas très jovial. Voila pour la 1ére journée, il est temps de rentrer et de dormir.
Vendredi 14 mai 2010
Le petit déj est servi au terrain de camping. Baguettes fraiches, beurre doux (avec du sel fin pour Thierry) et confitures.
Le rassemblement est pour 9h00, y’a pleins de choses de prévus.
On démarre direction Rochefort, on longe la base aéronavale bien connue, et on « plonge » dans les marais de Marennes. D’un coup, on aperçoit une citadelle, merde nous v’la à Guérande, il a du s’louper le Gillou !! Non, bien sur, c‘est pas Guérande, pov’ pomme, c’est Brouage !!
"Brouage, place forte du XVIIème siècle, est célèbre par ses remparts et ses tours de guet, appelées des échauguettes. Ancien port de sel et de guerre, Brouage est aujourd'hui un village paisible, animé par les commerçants et les artisans. Cette étoile de pierre, au cœur du marais, dévoile son histoire mouvementée à travers ses bâtiments militaires, ses fortifications et son port conchylicole." Ça c’est pour la touche historique…
Nous faisons une halte et d’un coup, les filles plongent telles des mouettes affamées vers les petites boutiques qui ouvrent leur rideau de fer… Et un petit chat en ferraille, et un bibelot par ici et un autre par la… !! Bon, on va quand même faire de belles photos de groupe (Merci l’inconnu qui les a pris)
Une petite pause buvette pour les gars et aussi pour les filles et il faut repartir vers d’autres destinations…
Nous passons par Marennes (comme tout le monde sait, qui est depuis peu la capitale mondiale du couscous argentin) puis nous frôlons l’ile d’Oléron, pour nous frotter à Ronce-les-Bains, et enfin arriver à Chatressac, où on va déjeuner au bord de la Seuvre.
Là, Gilles, CHAPEAU BAS pour la guinguette que tu as déniché.
Au menu ; moules frites, OK, mais des moules frites servies comme ça avec des vieux seaux en galva comme poubelle de table,
des bourriches d’huitres en guise de corbeille à pain,
des entrées trop sympas (bulots pour Biloute, huitres pour beaucoup…), un apéro avec des petites crevettes grises en amuse gueules ; des desserts comme ( !! je sais plus trop quoi, mais c’était trop bon !!) et ben fallait être là. Et en plus sous le soleil, Mireille s’en souvient encore..
Quant au patron, super sympa, et avec une vraie gouale de pécheur. Ah, j’oubli le petit truc en plus : les chiottes comme jamais vous en avez vu. En fait à l’étage ést suspendu une ancienne cabine de bateau avec tout ce qu’il faut à bord : (chiotte, PQ, bassine aussi en galva pour faire office d’évier, cartes marines en fond, trop top …)
Sur la porte n’est pas écrit « Toilettes » ou « WC » mais «Toilettes d’Aisance » en plus y’a de la poésie ici…
On resterait bien la mais il faut quand même penser à poursuivre notre journée touristique. Alors on enfourche nos fiers destriers et nous naviguons direction La Palmire (avec son zoo, et pleins de jolis pink floyd en bordure de route) puis sur Royan, et nous atteignons Meschers où nous attend la visite des grottes de Matata en bordure de La Gironde. Juste en face il ya des contrées qui nous tenteraient bien : Graves, Médoc, les Rothschild…Hummmm.
« On parle de grottes mais on devrait parler d’habitations troglodytiques. Ce sont des cavités naturelles, aménagées par les hommes, notamment pour les faire communiquer entre elles.
Le circuit de visite et les remarquables commentaires du guidage audio nous font imaginer et revivre ces personnages qui ont habité ou fréquenté ces habitations.
Les salles se succèdent pour nous en faire découvrir l'organisation et la vie intense au 19ème siècle et au début du 20ème siècle. »
Il y a aussi un restau qui fait crêperie et où des dédicaces de célébrités fleurissent les murs tels Gainsbar, Jojo, etc.
Très sympa cette visite très bien organisée sans trop de bla bla d’histoire.
Nous partons ensuite sur Talmont sur Gironde et il faut bientôt penser à rentrer au terrain de camping de Fouras.
Tite douche, et c’est déjà l’heure de l’apéro du soir qui sera chez Gilbert et Daniel (et bien sur leurs petites femmes aussi, comme Félicie !!)
Bon, faut décoller direction le repas du soir qu’on nomme ici le diner (!) En sortant du terrain, un spectacle de chants de marins a attiré tous les retraités du coin et ils y vont tous en reprenant «Hissez haut, Santiano»
Le diner (donc) est entouré d’une bonne ambiance avec quelques chansons et on sent déjà que le groupe se connait mieux, certains n’hésitant pas à se lâcher un pneu…ça fait du bien …L’incorporation des p’tits nouveaux est faite…
En rentrant sur le terrain, c’est au tour des Electrons de reprendre en cœur « Hissez Haut SantiAAno » et de faire bien marrer la troupe de chanteur qui rangeait leur matos. Chuttt on rentre dans le terrain. Bonne nuit.
Samedi 15 mai 2010
Lever de bonne heure (vers 8h00 !) et de bonne humeur, p’tit déj au terrain et ce matin on part sur Rochefort pour visiter la Corderie Royale. En passant par le pont transbordeur qui malheureusement est en rénovation, on ne peut pas le franchir
« Le magnifique bâtiment de la Corderie Royale est né de la volonté de louis XIV et de Colbert ; son ministre . Pour créer une puissante flotte de guerre, il faut des arsenaux. Colbert décide d’en établir un à Rochefort, au bord de la Charente, à 23 km de l’Atlantique. Le premier ouvrage construit est la corderie dont la réalisation commence en 1666 pour se terminer en 1669 Le bâtiment de 374 m de long, posé sur un radeau de poutres de chêne pour pallier l’instabilité du terrain marécageux, est une manufacture de cordes. Sa grande longueur s’explique par le besoin de confectionner des cordages longs d’une encablure, soit 200 m. »
Visite très intéressante, où on s’aperçoit du travail de l’époque, et ben aujourd’hui c’est quand même plus cool…
On doit ensuite aller au marché de Rochefort faire les courses du pique nique de ce midi, mais comme le temps passe bien vite, Gilles, Mireille Chanchan et Michèle se dévouent pour aller avec leurs petites jambettes les faire pendant qu’on termine la visite. Merci…Les revoilà avec pleins de sacs de victuailles dans leurs grandes mains, et en route pour trouver un coin sympa pas loin de l’embarcadère de l’ile d’Aix, tout prés de Fouras. On décide de na pas pique niquer au camping pourtant à proximité, et Gilles nous trouve une petite table dans un parc en bordure de la route de La Fumée.
Le casse croûte prévu ce matin est comme la Corderie : Royal ! Au menu des huitres
10 fois moins chères que celles proposées à Lauziére, des p’tits radis pour Betty à l’apéro, des cacahuètes, des poulets cuits (mais pas d’la Merde, comme dirait JP Coffe !) des bonnes
chips, du qui pue bien, des fruits, des gâteaux à la crème, une omelette norvégienne, une pièce montée, des coupes de glace maison, des, des ….enfin c’est le bonheur. D’ailleurs après le repas
les ¾ des Electrons s’endorment sous les arbres du parc…
Bon, va peut être falloir penser à décoller si on veut pas rater le bateau, lui il fait pas la sieste.. Pas facile de trouver de la place pour stationner nos dix jolies et imposantes motos. Nous trouvons bien de les mettre en rang d’oignons sur le côté de la cale d’embarquement des bateaux qui vont sur l’ile D’Aix. Sage idée très réfléchie….
Nous prenons place sur le ferry, tiens, la bas c’est fort Boyard, on voit mal où sont les nains.
Une petite heure après nous amerrissons sur l’ile. Ça parait bien sympa comme coin, et comme on nous propose des vélos de loc, les presque tous Electrons enfourchent leurs nouvelles montures pour des aventures extraordinaires…
En fait pour faire le tour à allure pépère (Mireille dirait plutôt: allure Gillou !), il faut 1 heure environ. L’ile es très jolie, et la encore il reste les empreintes du passage de Xynthia. Faut parfois faire un peu de tout terrain pour continuer à longer le bord du littoral.
Tout le monde se retrouve sur le lieu d’embarquement, on en profite donc pour se désaltérer à la buvette du coin. Le temps est correct, beaucoup de vent et la mer est un peu mouvementée.
Nous approchons de la terre, et Oh surprise, comme c’est bizarre, la mer n’est plus au même niveau. On dirait qu’elle a montée et même bigrement montée, c’est normal c’est marée haute coef. 86. C’était peut être pas une bonne idée de ranger nos bécanes sur la cale d’embarquement. Les Harley commencent à avoir les pneus dans l’eau. Il est grand temps d’arriver.
ça fait peur !!
On se fait par l’occasion foutre un peu de nous par les passagers et par un autre groupe de motards. Seront quitte à un lavage à l’eau douce.
La journée n’est pas terminée, ce soir on est invité au restaurant du soir pour une dégustation de bières locales brassées et distribuées par des Belges ( !) Y’a aussi de présent l’équipe technique de fort Boyard qui vient régulièrement ici. Et eux aussi se foutent de nous quand ils reconnaissent une certaine moto jaune qui était sur une cale à marée haute. Ils étaient sur le même bateau que nous.
Ce soir on a de la visite, la sœur de Michèle et son mari sont venus à notre rencontre au café, et seront ce soir avec nous au restaurant. Bienvenue.
Après avoir rentré nos motos au camping, et avoir pris une douche, l’apéro est servi chez Gilles, Mireille et Michèle. Comme d’hab., je ne détaille pas, un apéro donc. Mais avec du très bon saucisson et des petites brochettes fromage/jambon amenés par nos nouveaux invités.
Retour ensuite au restau pour le dernier diner du séjour. L’ambiance est encore montée d’un cran, Gilles a même droit à un pousse
dans son café qui plus tard portera ses fruits….
Voilà le récit de cette journée, il est temps d’aller au lit, demain c’est le retour….déjà….
Dimanche 16 mai 2010
Lever vers 7h30 pour le déjeuner servi dés 8h00. Il faut commencer à réunir ses petites affaires, et pour nous les campeurs, à démonter nos tipis.
Ce matin y’a un peu d’humidité, et on va plier le matos un poil pas trop sec. C’est bizarre, c’est toujours plus compliqué à tout remettre sur les motos pour le retour.
Le temps de payer le camping, il est vite arrivé 9h30, l’heure du départ. Vroum, Vroum ; les 2 Harley arrivent, c’est signe qu’il n’y a plus personne à venir !!! On peut dire un petit au revoir, prendre une dernière photo et en route vers l’ile de ré.
Avoir une moto, c’est top pour na pas avoir à payer trop les diverses taxes et droit de passage, le pont de Ré est pour nous à 2 euros et pour les caisseux à 17 !! Bien fait !!
Nous prenons donc ce magnifique pont et contournons l’ile par le nord direction La Flotte,
puis St Martin et Ars en Ré. Y’a plein d’autres motos, parfois on se retrouve à 20/25 à se suivre à la queue leu leu…Ensuite nous allons sur St Clément des Baleines et à droite on file par la route Du Fier, où on fait une halte, c’est le bout de la route. Nous déplorons sur ce parking le 1er et SEUL accident de motos de ces 4 jours. Thierry en reculant a griffé le garde boue avant de Boopy !... Ils s’arrangeront en famille pour faire le constat…
Nous trouvons alors un petit coin super sympa pour piqueniquer en bordure de l’océan. Ils restait plein de victuaille d’hier et en plus on avait un casse croute de préparé par la camping.
Mimi
a la Banane!!!
Une petite sieste sous un temps bien ensoleillé
et il faut repartir, vers le phare des Baleines où on ne fera pas la visite (257 marches à gravir, on verra pour une prochaine fois !!!)
La route du retour se fait toujours par des routes secondaires où je vous épargne des noms de tous les patelins (j’commence à avoir mal aux doigts !)
Gilles nous a réservé une dernière surprise sur la route avec la «visite » d’un bistrot pas comme les autres. (Le bar " Au Ch'ti Canon" à La Chapelle Palluau) A l’intérieur la déco a été pensée motarde avec pleins de vieilles pièces. La tireuse à bière suer le comptoir est en fait intégrée dans un moteur de 4 pattes, y’a des ½ motos au plafond, une selle avec la moitié arrière d’une 250 Honda fait office de chaise de bar…
Par contre, c’est pas la qui faut s’arrêter pour déguster une bonne bière,…
Commence un peu à faire tard, faut repartir pour la dernière fois, et c’est la qu’on va se dire au revoir, ça fait drôle, ce soir on va tous se retrouver qu’à un ou deux, on va avoir l’impression qu’il manque le reste de la famille. Sniff….
Conclusion de cette sortie Ascensionnelle !!
Avant tout un TRES GRAND MERCI à Gilles et Mireille pour l’organisement. Organisationner une telle escapade à 16 personnes et 10 motos n’est pas simple, entre l’itinéraire, les restaus, camping, visites, etc. Tous les Electrons vous remercient beaucoup.
Voila ce que nous avons fait pendant ces 4 jours et comme d’habitude tout c’est très bien passé et toute la troupe a, je pense, passée un très, très bon séjour
Christian
Pour vous servir, mais pas trop !!!
NB :
Nous avons eus quelques petits problèmes sur notre façon de gérer la route avec 10 motos (qui aurait pu avoir des conséquences sur notre sécurité)
*Gestion des demi-tours (qui ne peuvent être évités !!) où il faut toujours penser que nous formons un convoi de 100m environ, donc de continuer s’il le faut avant de faire la manœuvre, où de s’arrêter sur le bord de la route, une fois quelle est dégagée.
*Gestion pour ne pas s’paumer. Là, y’a un réel problème, et c'est pas la 1ére fois, il faut en reparler entre nous pour trouver la bonne solution (qui portant ne parait pas bien compliqué !)
Ceci n'est venu en rien enrayer la bonne humeur et la bonne entente de tout le groupe, bien sur !!
et pour finir merci à toutes nos motos qui nous supportent (elles sont parfois courageuses!!)
Voila, c'est fini...................................................